NON à l’initiative de résiliation

Remettre en question la voie bilatérale existante ? C’est NON !

Schweizer Warenexporte in die EU heute

4566 Franken pro Sekunde am Tag. Heute bis jetzt:
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4'566 Franken exportiert die Schweiz pro Sekunde in die EU – rund 144 Milliarden Franken im Jahr. Diese Erfolge verdanken wir den Bilateralen Verträgen, die unseren Zugang zum europäischen Markt sichern. Die Kündigungsinitiative möchte das alles bedrohen, ohne eine Alternative zu bieten. 

(Quelle BAZG/Swiss-Impex, Abrufdatum 11.6.25)

C'est la voie bilatérale qui est en jeu!

Alors que la Suisse a plus que jamais besoin de relations stables avec ses voisins, l'initiative UDC s’attaque à la voie bilatérale avec l’UE telle que nous la connaissons depuis 25 ans. Concrètement, l’initiative dite « pour la durabilité » exige que la population résidente permanente en Suisse soit limitée à 10 millions d'habitants d'ici 2050. Si ce seuil est dépassé, le Conseil fédéral est tenu de résilier l’accord sur la libre circulation des personnes avec l'UE. Cela ferait tomber automatiquement les six autres accords des Bilatérales I (clause guillotine). La Suisse se retrouverait aussi privée de la coopération Schengen/Dublin, avec à la clé, un afflux massif de requérants d’asile et la perte d’importants moyens de lutte contre la criminalité transfrontalière. Un véritable autogoal sur toute la ligne !

NON à l'initiative de résiliation

Les conséquences de l'initiative sont drastiques

🚨

De graves conséquences pour l’économie et l’emploi 

Résilier la voie bilatérale signifie renoncer à notre accès privilégié au marché de l’UE, qui est et restera notre principal partenaire commercial. 

 

• En 2024, 51% de nos exportations étaient destinées à l’UE, soit bien plus que celles vers les États-Unis (18%) et la Chine (6%), qui sont respectivement nos 2e et 3e débouchés à l’export. 

 

• Les entreprises exportatrices, grandes et petites, ne sont pas les seules bénéficiaires des Bilatérales. Leurs sous-traitants et fournisseurs, mais aussi les petits commerçants locaux en profitent. Car leurs clients sont aussi les entreprises exportatrices et les centaines de milliers de salariés qui y travaillent. Sans eux, artisans, boulangers et autres restaurateurs souffriraient également. C’est donc toute notre économie qui profite, directement ou indirectement, des accords bilatéraux avec l’UE. 

👩🏻‍🔬

L’initiative paralysera tout simplement la Suisse 
La population suisse augmente, mais vieillit. Le nombre de personnes partant à la retraite dépasse déjà celui des jeunes entrant sur le marché du travail. Et ce n’est que le début. 

 

  • Ces 10 prochaines années, le nombre de retraités en Suisse augmentera de 26%, contre 2% seulement pour les actifs. Autant dire que la relève n’est pas assurée, alors même que certains secteurs peinent déjà à recruter. On estime en effet qu’il manquera 460'000 équivalents plein temps sur le marché du travail suisse dans 10 ans.
     
  • Aujourd’hui comme demain, nous resterons tributaires de la main d’œuvre étrangère. Car sans elle, qui s’occupera de nos malades et de nos aînés ? Fera tourner nos entreprises et nos services publics ? Construira nos logements ou assainira nos bâtiments ? 
     
  • Et aussi: qui financera nos vieux jours, sachant qu’à l’heure actuelle, les ressortissants de l’UE contribuent à hauteur de 27% au financement du 1er pilier (AVS, AI et APG), alors qu’ils ne touchent que 15% des prestations versées?
     

💸

Nous avons besoin de partenaires fiables
En ces temps troublés, la Suisse a plus que jamais intérêt à conserver un partenariat fort et stable avec l’UE. Ce n’est pas le moment de rajouter de l’incertitude à l’incertitude en jetant par-dessus bord les accords bilatéraux. 

 

  • La voie bilatérale entre la Suisse et l’UE est un chemin connu, qui a largement fait ses preuves. Elle est un gage de stabilité et de sécurité face aux conflits commerciaux et à la guerre aux portes de l’Europe. 
     
  • C’est une voie taillée sur mesure pour la Suisse, qui nous permet de participer au marché européen dans les domaines spécifiques de notre choix, tout en préservant notre démocratie directe et notre fédéralisme.

Objectif 250 Déclarations

241 personnes soutiennent déjà le projet par leur déclaration, il en reste 9 pour atteindre l'objectif

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